Témoignages

Interview Mathieu Gouverneur – Alumni de l’EEMI 2/2

06 mai 2022

Mathieu Gouverneur – fondateur de Kitdeco-moto

Suite et fin à l’interview de Mathieu Gouverneur, Alumni de l’EEMI et fondateur de Kitdeco-moto. Pour la première partie c’est par ici !

Mathieu et l’EEMI

Quelles sont les compétences acquises à l’EEMI qui t’ont permis de mener à bien ce projet ?

Durant mes trois années à l’EEMI, nous avons énormément travaillé en groupe et à se partager le travail. C’est utile au quotidien.Bien-sûr, j’ai également appris des choses plus techniques sur un tas de sujets lié au digital. Par exemple, la première année en initial où je suivais des cours de design m’a permis de comprendre ce que font les designers.

Quel conseil pourrais-tu donner à tous ceux qui aimeraient eux aussi se lancer dans l’entrepreneuriat ?

Si je devais donner un conseil, ce serait de se lancer le plus tôt possible et d’apprendre au fur et à mesure avec du concret quand cela devient nécessaire pour avancer.

Les motos et l’E-Business

Pourquoi avoir choisi le monde des motos ?

J’ai choisi le monde des motos, car j’étais moi-même motard et souvent à la recherche de kit déco lorsque je rénovais avec mon père des motos durant notre temps libre. L’idée est née ainsi. Je me suis intéressé à la façon de produire un kit déco et je me suis lancé.

Quels sont les éléments à prendre en compte à l’heure actuelle pour créer un site de vente en ligne ?

D’après moi, il y a beaucoup de facteurs à prendre en compte avant de lancer une activité de vente en ligne.

Il faut tout d’abord faire une étude de marché en analysant l’offre et la demande. Par la suite, il faudra élaborer un business plan.

Si vous ne rencontrez aucune difficulté à ce stade, alors se lancer devient une évidence.

Les formations

Quelles sont les formations de notre école qui sont les plus aptes pour la création d’une entreprise selon toi ?

Pour moi, choisir d’effectuer son alternance dans une entreprise avec un modèle de « startup » est super cool. On en apprend beaucoup sur l’entrepreneuriat, car on est vite amené à toucher un peu à tout.

Par exemple, dès qu’il y avait un besoin et que je me sentais de réaliser la mission, je me lançais, même si ce n’était pas forcément le domaine pour lequel j’avais été initialement engagé.

J’ai passé quelques journées à développer parce que j’avais des connaissances dans le domaine que mes collègues n’avaient pas. Ça a permis de résoudre des problèmes auxquels nous étions confrontés.