La nouvelle promotion de l’EEMI rencontre nos fondateurs !
Une ambition inchangée depuis la création de l’école
Le digital et les nouvelles technologies sont de plus en plus présents au coeur des entreprises. Quand ils ont créé l’école, Jacques-Antoine Granjon, Xavier Niel et Marc Simoncini avaient pour objectif de répondre aux besoins de recrutement grandissants des entreprises en formant les managers du digital de demain. Cet objectif est clairement atteint, puisque les taux d’employabilité à la sortie du Bachelor se situent aux alentours de 90%-95%.
Pour nos fondateurs, la curiosité et la motivation sont les moteurs de la réussite. La vie est une aventure et chacun peut et doit saisir sa chance, en lançant son propre projet entrepreneurial ou en rejoignant une équipe déjà en place. Pas de succès non plus sans ambition ! Aujourd’hui, les États-Unis concentrent plus de 60% de la valeur Internet mondiale. Il faut ramener de la valeur en France en créant de nouvelles entreprises digitales, un objectif auquel l’EEMI contribue déjà.
Les soft skills, élément différenciant
Être curieux de tout, développer son sens critique, accroître sa capacité de travail et d’écoute, les défis sont nombreux pour les étudiants qui ont des rêves pleins la tête, mais pas forcément conscience du chemin à parcourir. La peur de l’échec et le manque de résilience peuvent également être des freins. Les entrepreneurs sont d’abord en quête de liberté, de challenges et de réussite. L’échec est souvent indissociable du parcours entrepreneurial. Il ne doit pas être vécu comme une fin en soi mais plutôt comme une source d’enrichissement personnel, un terreau propice au développement de nouvelles idées et de nouvelles énergies.
A l’issue de leur formation, les étudiants de l’EEMI possèdent un bagage technique solide. Cependant, la technique seule n’est pas suffisante pour répondre aux futurs enjeux professionnels. L’organisation, l’autonomie, la capacité à apprendre et à travailler en équipe seront les qualités différenciantes de demain, autant de soft skills déjà au cœur de l’enseignement à l’EEMI.
Pour aller plus loin : Révolution numérique : le choc de compétences